fait que j’ai la bonté de t’écouter ; car, assurément, cela est singulier.
Tu as raison, notre aventure est unique.
Malgré tout ce qu’il m’a dit, je ne suis point partie, je ne pars point, me voilà encore, et je réponds ! En vérité, cela passe la raillerie. (Haut.) Adieu.
Achevons donc ce que nous voulions dire.
Adieu, te dis-je ; plus de quartiers. Quand ton maître sera venu, je tâcherai, en faveur de ma maîtresse, de le connaître par moi-même, s’il en vaut la peine. En attendant, tu vois cet appartement ; c’est le vôtre.
Tiens, voici mon maître.
Scène VIII
Ah, te voilà, Bourguignon ! Mon porte-manteau et toi, avez-vous été bien reçus ?
Il n’était pas possible qu’on nous reçût mal, monsieur.
Un domestique là-bas m’a dit d’entrer ici, et qu’on allait avertir mon beau-père qui était avec ma femme.