sur moi comme sur un meuble ou sur une muraille, et de l’air d’un homme qui ne songe pas à ce qu’il voit.
Et celui-là, pour qui je n’étais rien, m’embarrassait tout autant que celui pour qui j’étais si peu de chose. Je sentais fort bien que je n’y gagnais pas plus de cette façon que d’une autre.
Enfin j’étais pénétré d’une confusion intérieure. Je n’ai jamais oublié cette scène-là ; je suis devenu riche aussi, et pour le moins autant qu’aucun de ces messieurs dont je parle ici ; et je suis encore à comprendre qu’il y ait des hommes dont l’âme devienne aussi cavalière que je le dis là, pour celle de quelque homme que ce soit.
À la fin pourtant M. de Fécour finit sa lettre, de sorte que tendant la main pour avoir celle que je lui présentais : Voyons, me dit-il ; et tout de suite :