d’Agis : je savons son argent, il n’y a que ceti-là qu’il m’a proumis que je ne savons pas encore.
Corine, c’en est fait, mon projet est renversé.
Non, Madame, ne vous découragez point ; dans votre projet vous avez besoin d’ouvriers, il n’y a qu’à gagner aussi le jardinier, n’est-il pas vrai, Dimas ?
Je sis tout à fait de voute avis, Mademoiselle.
Eh bien ! que faut-il pour cela ?
Il n’y a qu’à m’acheter ce que je vaux.
Le fripon ne vaut pas une obole.
Ne tient-il aussi qu’à cela, Dimas ; prends toujours d’avance ce que je te donne là, et si tu te tais, sache que tu remercieras toute ta vie le ciel d’avoir été associé à cette aventure-ci ; elle est plus heureuse pour toi que tu ne saurais te l’imaginer.
Conclusion, Madame, me velà vendu.
Et moi, me voilà ruiné ; car sans ma peste de langue,