la pensée de ces deux parsonnes dont il a doutance par rapport à l’intention qu’alles avont, dont il est en peine d’avoir connaissance au juste, vous entendez bian ?
Pas trop ; mais, mon ami, je parle donc à un renard ?
Chut ! n’appriandez rin de ce renard-là ; il n’y a tant seulement qu’à voir ce que vous voulez que je li dise. Preumièrement d’abord, faut pas li déclarer ce que c’est que ce monde-là, n’est-ce pas ?
Garde-t’en bien, mon garçon.
Laissez-moi faire. Il n’a tenu qu’à moi d’en dégoiser, car je n’ignore de rin.
Tu sais donc qui ils sont ?
Pargué, si je le savons ! je les connaissons de plante et de raçaine.
Oh ! oh ! je croyais qu’il n’y avait que moi qui les connaissais.
Vous ! par la morgué ! peut-être que vous n’en savez rin.