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LE COURTISAN
, qui a rêvé, leur tend la main à tous deux.
Fontignac, et toi, mon ami Blaise, je vous remercie tous deux.
BLAISE
Oh ! oh ! vous vous amendiez donc en tapinois ? Morgué ! vous revenez de loin !
FONTIGNAC
Sandis ; j’en suis tout extasié ; il faut qué jé vous quitte, pour en porter la nouvelle à la fille du Gouvernur.
BLAISE
, à Fontignac.
C’est bian dit, courez toujours. (Au Courtisan.) Alle vous aimera comme une folle.
Scène IV
LE COURTISAN, BLAISE, BLECTRUE, LE POÈTE, LE PHILOSOPHE
BLECTRUE
Arrête ! arrête !
Le Courtisan se saisit du Philosophe et Blaise du Poète.