Eh ! je t’assure que ce n’est pas la raison qui me manque.
Eh ! morgué, quand alle vous manquerait, j’en avons pour tous deux, moi ; ne vous embarrassez pas.
Quoi qu’il en soit, je te suis obligé de vouloir bien prendre mon parti.
Tenez, il m’est obligé, ce dit-il. Y a-t-il rian de si honnête ? Il n’est déjà pus si glorieux comme dans ce vaissiau où il ne me regardait pas. Morgué, ça me va au cœur : allons, qu’en se mette à genoux tout à l’heure pour li demander pardon, et qu’an se baisse bian bas pour être à son niviau.
Qu’il ne m’approche pas.
, à Fontignac.
Mais, malheureux ; que li avez-vous donc dit, pour le rendre si rancunier ?
Il né m’a pas donné lé temps, vous dis-je. Quand vous êtes vénu, jé né faisais que peloter ; jé lé préparais.
, au Courtisan
Faut que j’accomode ça moi-même ; mais comme je ne savons pas voute vie, je le requiens tant seulement pour m’en bailler la copie. Vous le voulez bian ? Je manierons ça tout doucettement, à celle fin