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Sophie. — Oh ! si j’avais connu le plaisir qu’on éprouve en la perdant, je ne l’aurais pas gardée si longtemps.

Belmont. — Aimable Sophie, nos ardents transports demandent quelques minutes de repos, permets-moi, en attendant, d’admirer ton petit con.

Sophie. — Je t’appartiens, fais de moi tout ce que tu voudras.

Belmont. — Oh ! la gentille épouse, qu’elle est complaisante. Couche-toi comme auparavant, pendant que je tiens la bougie. (Elle se couche et il observe son con). Oh ciel ! quel charmant petit con, comme le poil frise tout autour ; est-ce possible qu’il y ait une fente plus délicieuse ? (Il y introduit son doigt).

Sophie. — Sors ton doigt, méchant débauché !

Belmont. — Sois indulgente, mon ange, je suis très curieux.

Sophie. — Mais tu me chatouilles.

Belmont. — Eh bien, alors, ma chère, je t’obéirai, et en échange je te donnerai