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JOHN
Vous donnez dans le sentimentalisme, Monsieur de Rozières… C’est étrange, pour un esprit aussi élégant que le vôtre !
PAUL
Jamais de la vie ! J’ai horreur du sentimentalisme et de la poésie. En fait de vers, je n’aime que celui-ci :
« Et la lune se lève au moment du café ».
Le clair de lune crispe mes nerfs. C’est comme de l’eau froide sur le poil d’un chat.
JULIETTE (à mi-voix).
Paul… Paul !… Jure-moi de ne pas m’oublier quand tu seras là-bas ! (Paul se lève nerveusement et s’approche du bord de la terrasse, dont le parapet a été arraché).
MARY
Faites attention, car la falaise surplombe les rochers.