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de larmes) Vous l’avez donc oubliée ?… Elle qui vous aimait tant !…
PAUL
Pardonnez-moi ! Pardonnez-moi, Mary ! C’est une force inexplicable, qui m’entraîne vers vous !… Écoutez… Là-bas, votre image et celle de Juliette ont lutté longtemps dans mon âme… Puis, la vôtre s’est tout à coup précisée davantage, en imprimant ses contours dans mes yeux, dans ma chair, dans mon sang !
MARY
Non ! non !… Ne le dites pas !…
PAUL
Et l’autre s’est peu à peu effacée dans le brouillard du passé… tandis que votre nom résonnait continuellement à mes oreilles ! Toutes les musiques, tous les murmures, les cris discordants même, prenaient la cadence de votre voix. À toute heure du jour et de la