mettraient à deux doigts d’une démission.
Ah ! si vous aviez entendu Milhaud ! … Si le général n’y prend garde… Il a des ennemis… On l’obligera à quitter l’armée… Il faut qu’il nous reste. D’ailleurs, quelle autre activité lui voyez-vous ? à son âge, on ne se met pas au rancart.
Jamais je ne quitterai le service. Jamais on ne me le fera quitter… On ne me prendra pas pourtant par les épaules !
Cela, mon général, ce sont des mots inutiles… Vous savez bien que sans vous prendre par les épaules…
Vous avez tenu à vous mêler de ce qui ne vous regardait pas… Vous avez embrouillé l’écheveau à plaisir… Votre imagination a travaillé sur les éventualités… Voyez-vous, mon cher, dans la situation où je suis, ce n’est pas du dehors qu’on vous fait prendre une résolution ? Ce que je ferai… nous le