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nétrables, en dépit de leur claire syntaxe — « guère plus obscurs, a-t-il dit, que les Mémorables de Swedenborg ». Cris suprêmes de son délire mystagogique, ils demeurent inaccessibles à qui n’a pas scruté les arcanes de la pensée de Gérard. C’est leur recueil qu’il intitule les Chimères, écrin de perles sombres, étranges et fascinatrices comme les fleurs de sa folie.