Page:Marie - Dressage par le surfaix-cavalier des chevaux de cavalerie, d'attelage et de course en six et douze leçons, 1858.pdf/86

Cette page n’a pas encore été corrigée
74
INTRODUCTION.

son honorable carrière, n’a cessé de donner à la cavalerie de grandes preuves de ses profondes connaissances en chevaux et de sa haute science en équitation.

Ce général suivit mes travaux à l’école de Maidston et à Londres ; il apprécia ma méthode à un si haut degré, qu’il acheta un jeune cheval de quatre ans, qu’il choisit lui-même dans le pré, pour être bien sûr que personne ne l’avait encore monté, et fit faire sur cet animal l’application de ma méthode en sa présence. A la treizième leçon, le cheval était monté par la nièce de lord Zetland, et à la quinzième le cheval était parfaitement dressé et confirmé. Il avait un cheval qui bronchait très-souvent ; il le soumit luimême aux effets du surfaix-cavalier, et on verra, en lisant l’appréciation raisonnée du général, ce que devint son cheval. « Je trouve le surfaix-cavalier une invention excel » lente il influe beaucoup sur l’éducation du cheval >> sans l’offenser ; il le fait plier à la jonction de la >> tête au cou et donne à sa bouche de la fraîcheur ; il efface les épaules, il avance les bras du cheval et 22

place les pieds de devant convenablement ; il ne fatigue pas le cheval comme tous les autres dumb23 INTRODUCTION.

33 >>

33 jockeys,

et un cheval qui broncherait avec un dumb-jockey ordinaire marcherait sûrement avec » le surfaix-cavalier.