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INTRODUCTION.

ponse de la reine, qui m’adressait au duc de Wellington ; à deux heures, j’étais introduite chez Son Excellence le ministre de la guerre ; à quatre heures je reçus un engagement avec l’ordre de me rendre à l’école de cavalerie, et d’entrer immédiatement en fonctions.

INTRODUCTION. Ce sont des faits sans précédents, car dans l’espace de deux années, ma méthode était introduite dans les trois écoles de cavalerie appartenant à trois grandes armées.

Ces faits établis, je m’expliquerai donc dans l’espoir seul que cela sera profitable au progrès, persuadée que je suis qu’il est aussi important de démontrer les erreurs d’un système que d’en inventer un bon.

Lorsqu’on dressera, dit l’auteur, un jeune che>> val,

une lutte s’engagera nécessairement entre lui » et son cavalier ; il faudra le dompter d’abord, et le diriger ensuite. >>

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La manière dont l’auteur comprend le jeune cheval et le dressage, explique jusqu’à un certain point toutes les luttes qu’il a eu à soutenir pour faire prévaloir d’aussi dangereux principes ; commencer le dressage par une lutte dans laquelle on est forcé de dompter l’animal, est un moyen aussi dangereux pour l’homme que pour le cheval. Le cavalier ne peut lutter avec avantage qu’à force d’habileté, de