Page:Marie-Victorin - Récits laurentiens, 1919.djvu/59

Cette page a été validée par deux contributeurs.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

vue m’étreignait d’abord l’âme. Certes, elle n’avait rien de bien remarquable, mais, pour nous tous, elle perpétuait un souvenir de famille très ancien et très doux. Mon arrière-grand-père, un