Page:Marie-Victorin - Récits laurentiens, 1919.djvu/130

Cette page a été validée par deux contributeurs.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

embrassa silencieusement. Puis, à grands pas, il revint vers la maison, saisit une perche et arracha l’affiche : Terre à vendre, qui disparut avec un bruit sourd dans les hautes tiges d’herbe Saint-Jean !…


Il revint vers la maison, saisit une perche et arracha l’affiche.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Voilà pourquoi il y a, sur le chemin de Chambly, pas très loin de Longueuil, une terre abandonnée… et qui n’est pas à vendre !