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Joséphin Soulary

poétiques cuits et recuits au feu d’une passion concentrée, est, populairement, plus une impression d’admiration que d’attendrissement envers le plus grand artiste de la poésie contemporaine. En effet, pour quiconque est las des rêveries fades et malsaines, des étrangetés creuses ou des sonorités romantiques, Joséphin Soulary sera toujours le prince des sonnettistes, et en tous cas, l’un des plus puissants virtuoses de notre langue poétique.

Juin, 1883.