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ceurs, que ce que veut l’honneur.
Donnez moy cela d’une main aussi liberale, que d’un cœur devot je vous le demande.
Vous presterez, s’il vous plaist, vos oreilles à mon discours, et vostre soin, et vos devoirs à ma fortune.
Permettez que mon amour recouvre le droit que j’avois en vostre bien-veillance.
Si je vous ay recerchee, remettez plus ceste faute sur vostre perfection, qu’en aucune legereté qui me l’ait fait commettre.