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les qui soyent, ne me seront rien au respect de celles qui m’arriveront de vostre part, s’il faut en fin que nous soyons separez.

Adieu madame, vivez tousjours heureuse, et contente, et ce pendant je languiray malheureux et constant.

Affections.

Vous ne ferez jamais tant pour moy, que l’affection dont je vous adore, et la foy que j’ay en vous, ne soyent encor plus grandes.

Puis que le Ciel a mis en