Page:Marguerites françaises.djvu/439

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’engagement de vostre foy, sous l’hostage de la mienne : vous asseurant que la perfidie n’a rien de meslé en ce qui touche la fermeté de ma constance.

Tant de considerations conçeues au sein d’une si belle ame comme la vostre, ne doivent rendre vaine l’esperance de mes fidelles desirs, ni traverser ma foy en vostre imagination.

C’est du plus seur de mon ame, que j’ay tiré l’obeissance que mes vœux sacrifient aux pieds de vos perfections.

Je vous prie de n’entrer