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Les dignitez aggravent l’offence sur celuy qui est plus obligé de n’offencer.

La foy qui rend mes paroles justes, ne peut offencer celle que j’ay promise à vos merites.

Personne ne trouve les offences petites qui luy sont faites.

Les advertissemens trop libres, ne sont pas corrections, mais offences.

Lors qu’un sujet cherist une seconde personne, il offence la premiere.

Vous avez interessé ma personne, et non ma reputa-