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qu’on vous a donnez à entendre.

C’est l’intention seule, qui nous rend justes ou coulpables.

Ce n’est pas le but de mes intentions, qu’un voile emprunté du silence, vous prive de l’honneur qui vous est naturellement deu.

Avant que d’apposer le dernier sceau de vostre intention en cest affaire, vous m’en deviez donner quelque cognoissance.