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coutent les deffences des criminels, et ne les condamnent sans les avoir ouïs.

Je veux r’imprimer en vostre creance, ce qui s’y est effacé à mon desavantage.

C’est un defaut sans faute, et un peché sans offence, que je laveray pourtant avec un flux de larmes, jusqu’à ce que le feu de vos beaux yeux en tarisse la source.

Je prens vos paroles pour juste justisication de leur integrité.

Si les justifications de mes desirs peuvent obtenir audience de vostre colere, je re-