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crainte, il semble que vous accusez ma hardiesse.

Jamais mes souhaits n’ont pretendu chose, que la vertu ne doyve advouer pour legitimes.

Jamais les excuses ne manquent aux mauvaises volontez, mais les bonnes n’en reçoyvent point.

Je me veux munir de vostre belle prudence, pour l’opposer aux fausses calomnies des medisans.

Croyez que tous les remords les plus cuisans du monde, ne me seront jamais rien, au respect de celuy, que je