LETTRES INÉDITES F. Béthune,
n° 8500. camp… A Pau, ce xxye jour d’aoust. » (12 lignes.)
N° 8514. Fol. 21. (Auto.) A von COUSIN, M. DE MontmoLe commencement a été coupé. « Je vous mercye de vostre souhait, vous aseurant, mon cousin, que je my accorderoys de bon ceur….. » Cette lettre a été écrite dans le temps que Madame mère du Roi était convalescente
- « Quant est de Madame, elle ce porte très
bien, et est recouverte sa force, mes encores n’est saillie de la chambre pour le froit et la presse. » On était en carème, car Marguerite ajoute : « Elle (Madame) a peur que soyés sy à vostre ayse que ne teignyés conte d’elle, puis que ne vous pouvés tenir en karesme de vous moquer de vos pouvres voysins…
… » « Vous priant n’estre oblvée en vos dévotes complacions et pryères, sans oblier, svi vous plaist, nostre bon évesque, quy peu a de semblables….. » C’est peut-être Guillaume Briconnet, évèque de Meaux, avec qui Marguerite et sa mère étaient en relation suivie. (Une page.)
Fol. 23. (Auto.) – Au même. Elle le prie de croire ce messager comme elle-même. Elle le félicite sur ses succès, et l’assure de son amitié : « vostre bonne tante, mère et vraye amye, MARGUERITE. » Sans date ni rien qui puisse l’indiquer. (14 lignes.) Fol.
29. (Auto.) — A MON NEPVEU, Elle va rejoindre le Roi, sans dire M. LE
GRAND- VAISTRE.