Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome IV.djvu/350

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
336
NOTES ET ÉCLAIRCISSEMENTS

femme ; que fesai-ze, moi malhureux ?… M’amie, je me meuls ; je suis pis que tlépassé de voir ainsi mousir ta maitlesse. Je ne sçai que faize ne que dize… tien les clé que z’ay à mon coté, donne oldle à mon ménage, &c. » — L.

LXXII. — Triste histoire d’une Religieuse mise à mal par un Moine.

En 1525. À Lyon. Historique. L.

Cette Nouvelle manque dans l’édition publiée par Boistuau en 1558 ; elle a été imprimée l’année suivante par Cl. Gruget. – L.

Page 317, lignes 5-7. — « En une des meilleures villes de France aprés Paris y avoit ung Hospital richement fondé, &c. »

Il est impossible de déterminer de quel hôpital & de quelle ville de France Marguerite a voulu parler. Nous avons pensé qu’il s’agissait de l’hôpital Saint-Jean de Lyon, mais la suite du récit semble indiquer le contraire. Quant à l’église Saint-Jean, où se trouvait Marguerite quand elle entendit les plaintes de la Religieuse, nous renverrons aux notes de la lxve Nouvelle. — L.

Page 324, lignes 4-7. — Éd. de 1559, donnée par Gruget : « Cy finent les Comptes & Nouvelles de la feue Royne de Navarre, qui est ce que l’on en peut recouvrer. » — L.

PLUS VOUS QUE MOY.