mais évidemment de telles remarques portent sur des fautes d’impression ou de traduction assez légères pour qu’il soit toujours facile de reconnaître la véritable dénomination sous le nom altéré par l’imprimeur ou l’auteur.
« Ce petit volume, dit M. Eyriès, dans la Biographie universelle, offre un exposé succinct, mais exact, et des détails intéressants sur les événements tragiques dont la Russie était le théâtre à cette époque ; Margeret est d’accord avec les auteurs nationaux, Levesque le cite souvent… Cet ouvrage eut le plus grand succès[1]. »
III
En 1668, après l’élection du roi Jean Casimir II[2], le czar Alexis désirant faire nommer son fils au trône de Pologne, envoya des ambassadeurs à Louis XIV, afin de solliciter, pour l’élection, l’appui de la cour de Versailles ; l’attention publique fut rappelée sur la Russie, et le libraire Jacques Langlois obtint un privilége pour réim-