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le dit en riant l’excellent Georges Schwob, du “high life parisien.”

P. Ch.

C’est un devoir pour nous, en terminant cette notice, de remercier Mlle Lucie Schwob, qui nous a communiqué les lettres de Marcel Schwob à sa mère ;

Madame Maggie Bouy, sœur de Marcel Schwob, confidente des projets de jeunesse de son frère, qui nous a écrit une intéressante lettre ; enfin M. Maurice Schwob qui a bien voulu préciser, pour nos yeux, la physionomie très attachante et sympathique de son père et de sa mère.

M. André Babelon a été pour nous un collaborateur plein de goût et de sensibilité. Il a bien voulu se charger de relire les épreuves de la présente édition et nous aider grandement dans l’établissement du texte et des variantes.