Agamemnon : vers 1.343 à 1.371.
Agamemnon : vers 1.575 à 1.611.
Cf. Choéphores, pour la stichomythie : v. 107 à 124, 164 à 184, encadrée dans une distichomythie d’Électre et du chœur ; v. 211 à 225 ; v. 488 à 496 ; v. 525 à 535 etc… v. 908 à 930 ; enfin la distichomythie de 1.050 à 1.063 entre Oreste et le chœur. Pour l’invocation d’Agamemnon, cf. v. 305 à 510 ; on remarquera les appels symétriques et l’alternance entre les vers dits par Oreste, Électre et le chœur.
Cf. Euménides : vers 116 à 130.
Cf. Les Suppliantes, pour la stichomythie : v. 207 à 221 ; entrée du roi Pélasgos (v. 234 à 245) : 12 vers ; le chœur 3 vers, le roi 25 vers ; le roi 14 vers. Ainsi le discours du roi est symétriquement encadré entre le prooimion et la conclusion par une coupure rythmique ; distichomythie : v. 290 à 295, puis stichomythie jusqu’au v. 321 ; stichomythie : v. 334 à 345 ; chant alterné du roi et du chœur (cinq et six vers) : v. 345 à 406 ; stichomythie : v. 455 à v. 467 ; id., v. 507 à 515 ; chant alterné de Danaos et du chœur (cinq et deux vers) : v. 734 à 764 ; scène rythmique du héraut et du chœur : v. 835 à 901 ; stichomythie : v. 916 à 930 ; v. 1.051 : séparation en demi-chœur, stichomythie, et apo skènès sur deux strophes de quatre vers par hemikhorion.
Cf. dans Prométhée enchaîné : pontiôn kumatôn anèrithmon gelasma (sourire innombrable de la mer) ; panoptes kuklos hèliou ; passim : Nux poikileimon (nuit au manteau bariolé) ; panselenos, nuktos ophtalmos (la pleine lune, œil de la nuit), etc., etc… Voir les critiques d’Aristophane sur les mots “empanachés” d’Eschyle “aux sourcils froncés, aux aigrettes dressées”. (Grenouilles, v. 925 et suiv.)
Nous n’avons pas recueilli les imitations en vers du temps de Marot qui sont médiocres. Mais l’avant-propos était à conserver, puisqu’il contient une partie du secret des