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cupez à tort. On m’a assuré, en certaines maisons, que je n’étais pas trop mal comme organisation, — ce qui ne doit pas vous étonner, puisque vous m’avez élevée ; — par conséquent, pourquoi vous presser de me trouver un maître ? — Tant que tu resteras près de moi, m’a-t-il répliqué, tu laisseras toujours à désirer comme éducation. — Vraiment ! Je ne suis donc pas bien telle que me voilà ? À ma très grande surprise, il m’a répondu : Non, tu n’es pas ce que tu aurais pu être… si tu t’étais trouvée en d’autres mains ; tu me ressembles trop comme caractère. Dame, je ne me suis inquiété, moi, jusqu’à présent, que de ce qui pouvait t’égayer. Je dois encore être heureux que tu aies consenti à te laisser donner quelque teinture des choses indispensables ; car si tu n’avais pas voulu, du diable si je t’y aurais forcée. Combien de changements de maîtres, de gouvernantes et d’appartements pour te trouver des gens et des endroits convenables ? — C’est absolument comme moi, repris-je, quand j’ai voulu organiser ma chambre. Je ne me suis trouvée à mon aise pour dormir que dans un hamac. — C’est que la vie n’est pas un hamac, mon ange ; on ne s’y balance pas tout le temps. — Et, s’il me plaît d’exister ainsi cependant… Si je ne veux pas d’autre installation. — Oh ! pour cela, ce n’est pas moi qui te contrarierai, si ton mari s’arrange du hamac. On est supérieurement, au bout du compte, dans un hamac. — Mon mari ! toujours mon mari ! Mais quand je vous répète que je n’en veux pas de mari ! — Alors, il a plongé dans mes