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II


— Francine ?… C’est une fille charmante, une nature exquise… Ne croyez pas le mal qu’on vous a dit d’elle, monsieur Fargeau !

Thérèse Robert ponctuait ses paroles d’un geste énergique de sa main gauche qui agitait la palette ainsi qu’un grotesque éventail barbouillé de couleurs.

C’était chez la femme peintre, dans son atelier de la rue de Courcelles.

Maxime s’était résigné aux séances de pose : son portrait s’annonçait magnifique.

Or, préoccupé de son pari, obsédé par sa rencontre avec Francine, Fargeau venait de