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IV
J’ai dit à mon père que Mme Renaud, ayant appris qu’il possède des œuvres de son mari, sollicitait la faveur de les voir.
Grâce à ce quiproquo — chacun croyant accéder au désir de l’autre — des relations se sont établies.
C’est-à dire qu’après l’échange d’une ou deux visites entre mon père et ces dames, je me suis jugé autorisé à m’attacher à leurs pas ; le moindre prétexte m’attire à la villa : un livre à prêter, une excursion à proposer. Chaque matin, je m’éveille avec cette pensée : « J’irai la