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percer de sa faiblesse. Et il prononce enfin, d’une voix digne :

— Ce n’est pas à toi que je pense, vaurien… Je songe à l’aurore qui nous console de la nuit, aux rosiers qui fleurissent sur la terre des cimetières, à la renaissance qui se prépare… Je vois un marmot… Alors ma volonté s’incline devant l’avenir de la France.