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sont meilleures, plus sensibles, moins sujettes aux vices qui tiennent à l’égoïsme, à la dureté du cœur ; mais… »
(Journal de 1789. p. 5. in-8o.)
LVI.
La Raison veut que les femmes tiennent le sceptre de la politesse, sans aspirer à celui de la politique.
Une femme serait aussi déplacée sur un trône que dans la chaire d’un évêque.
Que de plaisanteries ne s’est-on pas permises sur la papesse Jeanne ?
« Mais Catherine II, en Russie, dira-t-on. »
Quelle est la femme honnête qui voulût ressembler à cette impératrice immorale ?
La reine Christine, elle-même, disait :
« Mon sentiment est que les femmes ne devraient jamais régner ».
(Mém. de sa vie, écrits par elle.)