XIV.
son n° B, c'est-à-dire, qu'il fait ici avec ce même
numéro, ce qu'il a précédemment fait avec son n° A, pour
ménager l'introduction de la simple modification
ainsi, il en est de même aussi pour ménager celle de
la modification par deux gammes, jusqu'à ce
qu'enfin le n°3.C. soit entierement possesseur du
redoublement de sa hachure.
La suppression des tons modifiants s'opère par le même moyen qui a fait leur introduction.
Le n°3.C. cède d'abord une légère partie de sa place à son auxiliaire, et finit par se retirer tout à fait : le n°3.B. seul possesseur de sa hachure cède à son tour, partie par partie, sa grande duite au n°3.A. son nouvel auxiliaire ; ensuite il lui cède egalement partie par partie, son redoublement et se retire. Il en est de même pour tous les tons.
Le moyen que nous venons d'expliquer, procure non seulement, l'avantage d'introduire vaguement les teintes les unes dans les autres, mais il donne aussi en même tems, celui de rendre egalement vague la forme horizontale que chacune de ces teintes présente sur la chaîne ; tandis que si on les attaquait dans toute la largeur du redoublement comme il est indiqué au 1er exemple des hachures-composées, il s'en suivrait un certain contournement qui