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SANS FAMILLE

part de bonheur en ce monde, et puisque je n’aurais jamais ni mère, ni frère, ni famille, je devais me trouver heureux d’avoir des amis.

Je devais être heureux et en réalité je l’étais pleinement.

Cependant si douces que me parussent ces nouvelles habitudes, il me fallut bientôt les interrompre pour revenir aux anciennes.