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et Franchet d’Esperey, MM. C. Enlart, Delaroche-Vernet et le baron Chassériau. M. Henry Prior a fait pour mon compte des fouilles fructueuses dans ses belles collections romantiques. M. L. Grasilier a trouvé dans ses cartons et m’a libéralement apporté de très curieux renseignements tirés de la série F des Archives nationales qu’il connaît si bien, et la piquante correspondance où se lit l’histoire du brave colonel de Galbois et de la sensible Amélie de X… Mme B. Paillard et M. Ernault ont avec la plus grande obligeance mis sous mes yeux les titres de propriété de la Maison rouge. M. A. Besnard a agi de même pour la maison que Sophie Gay occupa à Versailles. Je dois encore d’utiles indications à Mlle L. Vincent, auteur d’une thèse remarquable sur Georges Sand dans le Berry, à M. R. Jasinski, qui en prépare une sur Théophile Gautier, à M. de Lansac de Laborie, à MM. Pierre Dufay, Gabalda et Paul Jarry qui ont mis à ma disposition leurs belles bibliothèques sur Paris et le xixe siècle littéraire et artistique, à M. Henri Réveillez, secrétaire honoraire de la mairie de Boulogne-sur-Mer, à M. Louis Féron, ancien archiviste de la Préfecture de police, à Mlle C. Misme, bibliothécaire à la Bibliothèque d’art et d’archéologue, à M. Coüet, archiviste de la Comédie-Française, à M. Émile Blémont qui s’est fort opportunément rappelé pour moi un quatrain improvisé par Méry, à M. Brière, conservateur adjoint du Musée de Versailles, qui fut pour moi un guide sûr