Page:Mallarmé - Les Poèmes d’Edgar Poe, maquette, 1888.djvu/73

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ment rappelée des vieux temps ensevelis.

Et les voyageurs, maintenant, dans la vallée, voient par les rougeâtres fenêtres de vastes formes qui s’agitent, fantastiquement, sur une mélodie discordante, tandis qu’à travers la porte, pâle, █ une hideuse foule se rue à tout jamais, qui rit — mais ne sourit plus.

31