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tendu. Un adieu du signe au défunt cher lui tend la main, si convenait à l’humaine figure souveraine que ce fut, de reparaître, une fois dernière, pensant qu’on le comprit mal et de dire : Voyez mieux comme j’étais.

Apprenons, messieurs, au passant, à quiconque, absent, certes, ici, par incompétence et vaine vision se trompa sur le sens extérieur de notre ami, que cette tenue, au contraire, fut, entre toutes, correcte.

Oui, les Fêtes Galantes, la Bonne Chanson, Sagesse, Amour, Jadis et Naguère, Parallèlement ne verseraient-ils pas, de génération en génération, quand s’ouvrent, pour une heure, les juvéniles lèvres, un ruisseau mélodieux qui les désaltérera d’onde suave, éternelle et française — conditions, un peu, à tant de noblesse visible : que nous aurions profondément à pleurer et à vénérer, spectateurs d’un drame sans le pouvoir de gêner même par de la sympathie rien à l’attitude absolue que quelqu’un se fit en face du sort.

Paul Verlaine, son génie enfui au temps futur, reste héros.

Seul, ô plusieurs qui trouverions avec le dehors tel accommodement fastueux ou avantageux, considérons que — seul, comme revient cet