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l’intrusion sur le plancher divin : lequel, lui, ne la pouvait endurer avec impunité, à cause d’un certain éclat subtil, extraordinaire et brutal de véracité que contiennent ses becs de gaz mal dissimulés et aussitôt illuminant, dans des attitudes générales de l’adultère ou du vol, les imprudents acteurs de ce banal sacrilège.

Je comprends.

La danse seule, du fait de ses évolutions, avec le mime me paraît nécessiter un espace réel, ou la scène.

À la rigueur un papier suffit pour évoquer toute pièce : aidé de sa personnalité multiple chacun pouvant se la jouer en dedans, ce qui n’est pas le cas quand il s’agit de pirouettes.

Ainsi je fais peu de différence, prenant un exemple insigne, entre l’admiration que garde ma mémoire d’une lecture de M Becque, et le plaisir tiré de quelque reprise hier. Que le comédien réveille le beau texte ou si c’est ma vision de liseur à l’écart, voilà (comme les autres ouvrages de ce rare auteur) un chef-d’œuvre moderne dans le style de l’ancien théâtre. La phrase chante sur les voix si bien d’accord que sont celles du Théâtre-Français un motif amer et franc, je ne l’en perçois pas moins écrite,