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Une lettre de Banville à Mallarmé, du jeudi 9 décembre 1880, montre que l’auteur des Cariatides s’était entremis également pour le règlement de eette commande, qui s’éleva à quatre eents franes. Depuis longtemps, on l’a vu, Théodore de Banville ne eherehait qu’à être agréable et utile à Mallarmé à qui il portait une très vive affection. Édité alors chez Charpentier et eelui-ei ayant besoin d’un traducteur pour ce manuscrit anglais, Banville avait recommandé aussitôt Mallarmé. L’ouvrage ne présente guère de valeur littéraire et Mallarmé lui a rendu plus que justice en le traduisant. On peut s’en rendre compte d’après l’original qui parut en même temps ehez Charpentier : The Star | of the Fairies | by | Mrs. C. W. Elphinstone Ilope i illustrated by | John Laurent | Paris | G. Charpentier publisher 13, rue de Grenelle-Saint-Germain | London | at ail booksellers | 1881. Les illustrations de l’ouvrage seraient, en outre, d’une assez remarquable médiocrité si l’on n’y découvrait un surréalisme imprévu. FIN