Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/1589

Cette page n’a pas encore été corrigée

20 Variantes insignifiantes. 30 Dans la Revue Indépendante : « ... d'une lecture de la comédie de Al. Becque, les Honnêtes Femmes »; dans la meme revue [derniers mots ; eoquille évidente] de maturité future. 4° Avant les mots : « A tout le théâtre... » on lisait dans la Rerue Indépendante : « Al. Becque est sans contredit l'homme à la mode et je ne sais rien d'attrayant que de surprendre le goût public en flagrant délit, pour une fois, de clairvoyance : si ce n'est d'analyser le fait, » Le paragraphe « Comme je goûte... » débutait ainsi : « Comme je goûte cette farce de Gotte, aiguë, autant que profonde... » et finissait par : « (Jw transparence d'allusions répandue sur fond d’esprit, enveloppant dans le tourbillon de joie réalité folle et contradictoire, puis la piquant de ses pointes, avant de s'arrêter sur ce sourire qui est le jugement suprême et en dernier lieu de la sagesse parisienne et indéniablement le signe et la séduction de AI. Aleilbac. « Ainsi dans un ouvrage dramatique savant, réapparaît, visible au regard critique et certain, l’être aux ailes de gaze initial, à qui sont les planches. » 5° Le premier paragraphe « Quelques romans... » ne figure pas dans la Revue Indépendante. Au lieu de « ... telle extraordinaire figure... » on lisait : « ... comme l'est cette extraordinaire Chérie » (par Edmond de Goneourt, Paris, 1884). Au lieu de « ... s’effarouche d'une interprète... » « ... s’effarouche de la réalité même de Aille Cerny. » Après : « ... de A1A1. de Goneourt » était nommée « Renée Alauperin ». 6° Le morceau sur Daudet est très réduit par rapport au texte original de la Revue Indépendante. 7° Variantes infimes. Après « ... la tragédie française... », une note : « Rouvert mon Racine, ces derniers temps. » Avant Renée, « sa Phèdre » a été ajouté au texte premier. Ce travail d’assemblage avait déjà été fait par le pocte en vue du rceueil Pages (Deman, Bruxelles, 1891) où les moreeaux 1, 2, 3, 4, figurent avee la même distribution, le quatrième s’aehevant comme dans la Revue Indépendante, par : « ... à qui sont les planches. » Le morceau 5 y figurait (pp. 139-142); le morceau 6 y était beaucoup plus étendu (pp. 142-143). Le morceau 7 formait dans Pages (pp. 144-148) l’avant-dernière partie du ehapitre Le Genre ou des Alodernes, ee ehapitre se terminant alors par les pages intitulées maintenant Parenthèse. Dans le reeueil Pages, le ehapitre Le Genre ou des Alodernes contenait en outre les moreeaux devenus : Alimique, Solennité et Parenthèse (première partie). P. 322. PARENTHÈSE (Paris, décembre 1886, mai 1887.) Ce ehapitre a été constitué d’un premier paragraphe formant la fin des Notes sur le Théâtre (Revue Indépendante, numéro de jan 1568