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Wémau, ii, rue de la République, à Montpellier. 11 fut recueilli dans l’édition de 1913 des Poésies (N. R. F.). Un manuscrit (coll. Mondor), qui semble bien être un premier brouillon, donne ce texte : R/rw au Monde que vous n'ayez lini’isagé île quelque moue ( )// de ee rire qui secoue 1 ’otre aile sur les oreillers. Princesse an berceau, sommeillez Sans voir entre tout ce qu'on loue Rien au monde que vous n'ayez linrisayé de quelque moue. Nos vains souhaits émerveillés De la beauté qui les déjoue, Ne connais sent, fleurs sur la joue, Dans l'ieil diamants impayés. Rien au monde que vous n'ayez- (.1 texte ligure egalement sur le carnet des I ers de circonstance copiés par Geneviève Mallarmé. Sur un manuscrit (coll. Bonniot) on lit les variantes suivantes : Sans que P baleine seule avoue... Ne contiennent, fleur sur la joue... P. 62. RONDEL II (Paris, 1889.) Le Ier janvier 1889 aurait, d’après Robert de Montesquieu (Triptyque de France, p. 244. R. Chibcrrc, éd., Paris, 1921) été fêté entre Mallarmé et Méry Laurent par cette Chanson, sur un vers composé par .Méry, dont les deux premières strophes, un peu différentes, étaient, ainsi qu'en fait foi le manuscrit (coll. Robin) : Si tu veux nous nous aimerons . Ivec la bouche sans le dire, Cette rose ne l'interromps F.n versant du silence pire Aucuns traits émanés si prompts Que de ton tacite sourire Si tu veux nous nous aimerons ivec la bouche sans le dire. Ce rondel et le sonnet Dame, sans trop d'ardeur taisaient partie du 6e cahier de Méry Laurent. Dans le 10 cahier se trouvaient les quatrains; dans le 11e, le .Mirliton de Méry (coll. A. Robin). Le Rondel fut d’abord Chanson et, alors, au dessous de ce titre