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C’est-à-dire le pronom personnel régime avec l’j du génitif saxon remplaçant le possesseur : il va donc sans dire que le possessif se rapporte, dans ce cas, au possesseur, non à l’objet possédé, et s’accorde en genre avec le possesseur. Thème quarante et unième. 1. Un mauvais ouvrier se querelle avec ses outils. 2. Pas digne de porter ses livres après lui. 3. La richesse n’est pas à celui qui en jouit mais à celui qui l’acquiert. 4. La richesse n’est pas à celui qui l’acquiert mais à celui qui en jouit. 5. Qui n’a personne pour le consoler, peut pleurer tous ses yeux. 6. La vertu est sa propre récompense. 7. Deux têtes valent mieux qu’une, dit la femme quand elle menait avec elle son chien au marché. 8. Connaître quelqu’un aussi bien qu’un mendiant connaît son plat. g. Prenez un homme à sa parole et une vache par ses cornes. 10. Celle qui a un mauvais mari le montre dans ses vêtements. Notes. — 1. se quereller avec : to quarrel n’itb. — 3. à celui qui : bis nbo — jouir de : to enjqy. — 5. pleurer tous ses yeux : to weep bis eyes ont. — J. valoir mieux, ici : to be better — mener avec elle : to bave witb ber. — 9- à sa parole : par ses paroles. 42. RAPPEL DE LA RÈGLE Pronom possessif relatif et absolu (3e PERSONNE DU SINGULIER). Même règle que la précédente, l’une des plus importantes de la grammaire anglaise. Thème quarante-deuxième. 1. Pas de jardin sans ses mauvaises herbes. 2. Pas de faute qu’une fille n’ait mis trop bien son bonnet. 3. Jack Sprat pourrait en remontrer à sa grand-mère. 4. Il ne dansera qu’au son de sa flûte. 5. Comme la vertu est sa propre récompense, ainsi le vice est sa propre punition.