Page 146, ligne 18. L’édition de 1630 donne : Tiennent mes souhaits. La correction est de Ménage.
— 154. L’édition de 1630 donne pour la première fois ces stances auxquelles Malherbe travailla jusqu’à la fin de sa vie, suivant Racan, qui a dit aussi à Ménage qu’Alcippe était le duc de Bellegarde.
— 158. Cette pièce a été écrite sur des rimes masculines, pour se conformer au rhythme d’un air sur lequel . cependant elle ne put être chantée, Malherbe n’ayant donné au premier vers que dix pieds au lieu de onze.
— 161. Imprimé dans le Camp de la place Royale, ou Relation de ce qui s’est passé les 5, 6 et 7 avril 1612, pour la publication des mariages du Roy et de Madame avec l’Infante et le Prince d’Espagne, recueilli par H. de Porchères. (Paris, 1612, in-4o.)
La pièce suivante figure au même recueil.
— 166, 6. Allusion à une légende d’après laquelle un ange aurait apporté à Clovis les fleurs de lis, au moment de son baptême.
— 168. Présenté à Louis XIII vers le 20 avril 1614, quand le traité du 15 mai, signé à Sainte-Menehould, allait mettre fin à la première guerre des princes. C’est le psaume Sæpe expugnaverunt me a juventute mea.
— 170. Ballet dansé à la Cour, le 19 mars 1615, en l’honneur des alliances de France et d’Espagne.
— 171, 23. Elize : Madame Élisabeth.
— 172, 1. Le jeune demy-dieu : Philippe IV.
— 172, 12. Celle qu’en sa place il nous doit envoyer : Anne d’Autriche.
— 174. Publié d’abord sous íe titre d’Epithalame, dans les Délices de la poësie françoise, en 1615.
— 176. Chrisanthe serait Anne d’Autriche.
— 179. Composé en faveur de Charles Chabot, comte de Charny, pour Mlle de Castille. Ils se marièrent en 1620. Devenue veuve lannée suivante, elle épousa en 1623 le comte de Chalais, décapité en 1626.