Les principaux recueils de poésies où se trouvent des vers de Malherbe imprimés de son vivant sont :
1o Diverses Poésies nouvelles, Rouen, R. Du Petit-Val, 1597, in-12 ;
2o L’Academie des poëtes françois, Paris, Dubreuil, 1599, in-12 ;
3o Le Parnasse des plus excellents poètes françois de ce temps, ou les Muses françoises ralliées de diverses parts. Paris, Guillemot, 2 vol. in-12, 1599-1600, 1603, 1607, 1609, 1618 et 1628 ;
4o Les Muses Gaillardes, Du Breuil, 1609, in-12 ;
5o Le Temple d’Apollon, Rouen, R. Du Pelit-Val, 1611, 2 vol. in-12 ;
6o Les Délices de la poésie françoise, rec. par F. de Rosset, Paris, Du Bray, 1615, 2 vol. in-8o ;
Les mêmes, 1620 et 1621 ;
7o Le Cabinet des Muses, Rouen, Du Petit-Val, 1619, in-12 ;
8o Recueil des plus beaux vers de MM. Malherbe, Racan, etc., Paris, Du Bray, in-8o, 1626, 1627, 1630, 1638 ;
9o Le Séjour des Muses, ou la Cresme des bons vers, etc., Rouen, 1626, in-12 ; 1630, in-8o.
Page 1, ligne 1. Cette ode célèbre la prise de Marseille, restée huit ans au pouvoir de la Ligue et réduite par le duc de Guise.
— 2, 16. Charles de Lorraine, fils de Henri le Balafré.
— 2, 20. Malherbe joue sur le mot Liberté, en faisant allusion aux frères Libertat, qui livrèrent la ville aux troupes royales.
— 3, 24. Les Guises prétendaient descendre de Godefroy de Bouillon. A. Chénier trouve cette ode belle, pleine de