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s’en va, n’y avait-il pas le peuple, cette masse immense, tantôt calme, tantôt agitée comme une mer, réservoir inépuisable des forces et des énergies ? Oui, son ami le prolétaire de Mersey, Bernard, disait vrai : une aurore nouvelle allait illuminer l’horizon, le jour approchait où les salariés, les exploités, les miséreux de tous les pays allaient se rapprocher, s’unir pour prendre possession du monde et en faire la patrie humaine, libre et heureuse.
FIN