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LES PARISIENNES

Nous allons enfin revenir à Paris et je m’en réjouis comme si j’étais partie depuis quinze ans. Je veux que tu sois à la gare, mon mignon, et que tes chères lèvres me disent mon premier bonjour de revenue.

Des baisers et des baisers de ton amie

Jeanne de Tillenay.