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LES PARISIENNES

La cousine Eudoxie les devança avec l’enfant, et la semaine suivante, les mariniers qui descendaient le canal sur leurs chalands, purent apercevoir à l’une des fenêtres de la maison qu’ils connaissaient tous, une jolie tête pâle de convalescente qui souriait dans la mélancolie des derniers soleils à un rêve ignoré, et de temps en temps se retournait pour chercher, pour voir encore derrière elle quelqu’un qu’elle devait bien aimer…

Luce était sauvée.