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III


Parfois — durant l’été — quand, aux bourgs voisins, il y avait un « romérage » et que par la nuit d’étoiles, — la belle nuit chaude qu’embaumait l’âpre odeur des champs brûlés — les ménagères s’en revenaient ensemble menant la farandole tout le long du chemin, la bande joyeuse cognait à la porte de l’auberge. Et l’on dansait alors jusqu’à pointe d’aube — au milieu de la route, tandis que le joueur de tutu-panpan tambourinait à crever