Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/11

Cette page a été validée par deux contributeurs.


VIEILLE HISTOIRE


I



En ce temps-là, campé comme une sentinelle altière sur des falaises grises qui dominaient l’Océan, le lourd château des Penkaradec enveloppait de son ombre massive les landes immenses et les vergers de pommiers dont les verdures robustes l’étreignaient